Voici le message qu’elle nous envoyé à son retour :
“J’ai pu, grâce au stage, reprendre l’avion, non sans une certaine peur mais l’essentiel est que j’ai franchi le pas. La peur, elle, s’est estompée grâce au voyage en lui même, à l’excitation de la découverte de nouveaux horizons, et finalement en constatant qu’après 6 vols de 2h30 à 12h je n’ai subi que 30 secondes de turbulences modérées, je me suis dit que ça valait le coup de voyager!
Je suis allée chercher mon frère à l’aéroport ce soir, et pour la première fois je n’avais plus cette oppression à la vue des avions, mais au contraire une envie de remettre l’expérience!
Les décollages restent la partie la plus anxiogène pour moi mais cela dure quelques minutes, ça n’est pas grand chose comparé à tout le trajet, et sur le dernier vol, je n’ai quasiment plus ressenti cette peur.”