Un grand bravo à Marjorie qui a mis fin à une phobie de l’avion de 8 ans en suivant le stage contre la peur de l’avion !
Billets libellés témoignage
La peur de l’avion s’envole : “J’en arrive même à aimer le décollage !”
Mercédès a suivi le stage contre la peur de l’avion de Charleroi (Belgique) en 2015. Elle souffrait d’une très grosse peur, mais désormais le monde est à elle !
“Une fois en vol je me suis sentie beaucoup plus sereine c’était inespéré”
Agnès a suivi le stage contre la peur de l’avion de Marseille, avant de s’envoler quelques semaines plus tard… Sa peur de l’avion s’est envolée 😉
Voici le témoignage qu’elle a laissé sur Facebook :
“Je suis prête pour repartir au plus grand bonheur de toute ma famille !”
“Bonjour,
Un grand merci à vous tous pour m’avoir redonner le courage de remonter en avion, suite au stage du 21 juillet, avec un vol pour New York.
Tout s’est super bien passé autant à l’aller qu’au retour.
J’ai bien respiré, bien compté les secondes au décollage et il y a eu très peu de turbulences.
Je suis prête pour repartir au plus grand bonheur de toute ma famille !
Encore merci et bonne continuation à tous,
Cordialement
Stéphanie”
“Je n’aurai jamais pris l’avion sans votre aide”
Mariam avait une peur de l’avion vraiment intense et reposant sur plusieurs difficultés (phobies s’exprimant aussi dans d’autres environnements, idées de l’accident, peur d’avoir peur…), elle a suivi le stage puis une formation individuelle complémentaire avant de réussir à reprendre l’avion. Voici son témoignage :
“J’ai eu l’impression que ce vol de +/- 12 heures en avait duré 4”
Témoignage de Isabelle qui a suivi le stage de Charleroi du 1er juillet :
“Bonjour Sébastien,
Je reviens d’un séjour au Japon. Depuis le 1er juillet, j’ai donc pris 4 vols.
Pour le 1er Bxl-Frankfort j’étais anxieuse quant à savoir si le stage porterait ses fruits. J’ai donc pris un Temesta.
Une fois installée dans l’avion, toutes les explications techniques me sont revenues à l’esprit. J’avais l’impression d’être dans un environnement connu. J’étais donc beaucoup moins aux aguets. J’ai mis mon casque annulant les bruits environnant. Le vol s’est bien passé.
Pour le 2ème vol Frankfort-Osaka, je n’ai pas eu besoin d’un nouveau médicament. J’ai mis mon casque, j’ai fait des mots fléchés Niveau 1 (bien débiles, histoire de remplir facilement les cases), j’ai regardé un bon film, j’ai mangé japonais avec des baguettes. Les quelques turbulences sont passées inaperçues car j’avais bien enregistré qu’elles n’étaient d’aucun danger pour l’appareil. Je me suis même amusée des quelques fois où le signal « Attachez vos ceintures » s’allumaient sans raison apparente. Pensant au commandant qui devait avoir un besoin pressant. Après 2 heures de vol, j’ai pris un somnifère pour une question de décalage horaire. A l’arrivée, j’ai analysé le type d’atterrissage effectué, ce qui m’a permis de transformer cela en quelque chose d’anodin.
15 jours plus tard, le retour s’annonçait. Je ne redoutais pas le moment. Le vol (Tokyo-Frankfort) a durée +/- 12 heures, on est monté à bord à minuit 40. J’étais crevé, surtout après toute une journée passée à marcher. On a décollé, j’ai pris un sandwich, j’ai pris un somnifère, j’ai dormi, j’ai été réveillé par les hôtesses qui proposaient le breakfast, j’ai mangé, regardé un film. Et on a atterri. J’ai eu l’impression que ce vol de +/- 12 heures en avait duré 4. PLUS »
“Je suis très contente car je n’ai pas eu l’impression que j’allais mourir”
Céline a suivi le stage contre la peur de l’avion de Belgique en juillet, elle a déja pu partir en vacances sans anxiété !
“Bonjour Damien et Julien,
Je voulais vous remercier suite au stage de ce début juillet. Je suis partie tout de suite après le stage pour une semaine en Espagne, j’ai donc pris l’avion deux fois depuis le stage et je suis très contente car je n’ai pas eu l’impression que j’allais mourir. Je n’aime toujours pas le décollage et l’atterrissage mais j’ai été plus à l’aise. Le fait d’avoir les infos techniques, je rationalisais ce que j’entendais et ressentais et ça me rassurait. Le fait aussi de pouvoir expliquer également à mon compagnon ce qu’il se passait me rassurait.
Merci à vous et au pilote qui nous a accompagné dans le simulateur. J’ai trouvé chouette que le pilote soit aux commandes et qu’il simule différents soucis en nous montrant que c’était gérable. Il était très calme et c’était également très rassurant.
Cordialement,
Céline M.”
Merci pour l’efficacité de la prise en charge
Mathieu a suivi le stage contre la peur de l’avion de Lausanne en Suisse :
“Vol super, j’ai repris l’avion et j’ai même apprécié !
Merci à vous pour la rapidité et l’efficacité de la prise en charge, voici quelques images de Moldavie 🙂
Mathieu”
J’ai observé un avion dans le ciel et j’ai pensé “quelle chance ils ont d’être là-haut !”
Magnifique message de Quentin, qui a été un phobique pendant 20 ans et qui a été soigné par le stage contre la peur de l’avion :
“Bonjour,
Je vous envoie ce message afin de vous faire part des mes aventures suite au stage passé en votre compagnie.
Je vous rappelle qu’il était pour moi devenu impossible, et je pèse le mot, de voyager en avion. Cette phobie était devenue handicapante pour le voyage de loisir mais aussi à titre professionnel.
Deux semaines après le stage, je devais me rendre en Espagne, par un petit vol de deux heures, pour visiter ma soeur. Je n’en menais pas large jusqu’au décollage qui est, pour moi, le moment le plus éprouvant, et puis… je me suis détendu, j’y ai pris du plaisir même, doucement. Le retour fut un peu plus éprouvant sans que j’en connaisse la raison, je devais être trop sûr de moi, certain que cette peur irraisonnée avait disparue. Ça n’était pas encore tout à fait le cas, ç’aurait été trop beau.
Trois mois plus tard j’avais prévu d’aller aux USA, jusqu’à Los Angeles, c’est-à-dire à 11h30 de Paris ! Je ne vous cache pas que chaque semaine je pensais annuler mon voyage, quitte à perdre le prix des billets, quitte à abandonner compagne et amis, quitte à rester cloîtré dans le quotidien de ma petite banlieue pendant que mes proches parcouraient le grand ouest américain, jour après jour, de Los Angeles à San Francisco. Après tout, n’était-ce pas plus raisonnable que de devoir faire les frais d’un atterrissage d’urgence à cause d’un phobique qui aurait poussé des hurlements de terreur et qui se serait probablement évanoui d’horreur à quelques heures du décollage ? J’ai tenu bon.
Il y a quelques semaines que je suis rentré de ce voyage, en deux semaines passées là-bas, j’ai pris 5 fois l’avion, ce qui représente plus de 24h de vol ! J’y ai admiré parmi les paysages les plus bouleversants, parcouru des milliers de miles, en passant par la Californie, l’Utah, le Nevada. Tout cela était splendide, sans égal. Auparavant, pour me rassurer en tant que phobique, je me disais que je n’avais pas besoin d’aller si loin, que je pouvais m’épargner l’avion puisque notre pays regorge aussi de merveilleux paysages, si divers, et que, finalement, j’avais encore un peu de temps avant de connaître toute la France. Au-delà il y a l’Espagne, l’Italie, et quelques pays de l’Est, tous accessibles par train. C’était confortable, sans risque. Quelle erreur ! Cette phobie devient risible quand, du hublot, vous apercevez l’infinie banquise du Groenland et quand vous ne pouvez retenir vos larmes car vous n’avez jamais vu d’aussi étonnants et grandioses paysages.
Je mentirais si je disais que j’étais totalement «guéri», bien que je commence à en être convaincu. Je continue à prendre un quart de Lexomil avant chaque vol, je n’en reprends jamais pendant et je pense être capable d’abandonner rapidement ce mauvais réflexe. Quoi qu’il en soit, je ne me considère plus comme phobique (je l’ai été pendant 20 ans !) et je vous assure que j’aurai été tout à fait incapable de réaliser ces voyages avant votre stage !
Une dernière chose : quand je suis rentré d’Amérique, alors que je marchais pour rejoindre mon lieu de travail, j’ai observé un avion dans le ciel et j’ai pensé «quelle chance ils ont d’être là-haut !»
Merci encore pour votre disponibilité et votre pédagogie, je reprendrai l’avion à la première occasion !
Bonne continuation !” PLUS »
“Sur une échelle de 0 à 10, mon niveau d’anxiété était à… 0 !”
Voici le message de Margaret qui a suivi le stage contre la peur de l’avion à cause de sa peur des turbulences :
“Bonjour Monsieur Tytelman. Je vous dois une fière chandelle ! Mon vol retour s’est passé merveilleusement bien. Sur une échelle de 0 à 10, mon niveau d’anxiété était à… 0 ! J’ai pris beaucoup de plaisir à voir le ciel, les nuages, un peu les paysages… Je vous remercie infiniment. Ça a été une expérience fantastique ! Merci beaucoup. Margaret”